A part quelques broutilles, et des lettres toujours merveilleuses à ses amis, à sa famille à ses enfants, Odile après-guerre avait perdu le goût d’écrire.
Pendant la guerre, Odile a essayé d’écrire: ce sera « La Belle Etoile -Paroles sans Histoire », un roman autobiographique qui est décrit sur une page suivante.
Egalement précieuses sont les Lettres à Bibi, càd à Gisèle GUERONIK, qui couvrent une période de guerre plus étendue que les lettres à Hélène, et dont un spécimen figure également sur une seconde page.