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  2. Bonjour cher lointain parent,
    Quel travail titanesque de recherche et quel trésor patrimonial !
    Au plaisir de lire ces témoignages d’un autre temps.

    Carole Commun
    Petite fille d’Arlette Clémence NEUBURGER, fille d’Edmond-Pierre NEUBURGER

    1. Pierre a été un camarade de captivité de mon père au camp de Stablack, et lui a sauvé la vie à la fin de sa captivité alors que mon père était atteint d’une pleurésie. Il a par la suite été mon parrain, même si je le voyais peu souvent, et pour mon mariage il m’a offert … une tente de camping que j’ai utilisée en voyage de noces aux Etas-Unis. Une question que je n’ai pas su résoudre: mon arrière-grand-père était Gustave Neuburger. Le grand-père de Pierre était-il le frère de celui-ci, Léon Neuburger, qui avait un poste important chez Rothschild, et avec leur neveu Lionel Hauser s’occupait de gérer le patrimoine de Marcel Proust?

  3. frederic visconti

    Je vous remercie de tout mon cœur de faire resurgir du passé la vie d’Odile et ainsi que celle d’Hélène .
    j’avais déjà eu un coup de cœur pour le Journal d’Hélène Berr , la découverte de leurs correspondances et d’une multitudes de détails de leur vie , est pour moi un enchantement .

    j’habite près de Marseille , je connais bien Gémenos ou Odile s’est réfugiée pendant la guerre , et ou certaines lettres d’Hélène lui sont adressées ; je vais voir si j’arrive a trouver des photos de l’hôtel de cette époque .

    Merci mille fois …………………..

    Je vais revenir souvent vers votre blog

    Amitiés ………………….. Frédéric Visconti

    1. Merci pour votre commentaire. Ça me ferait en effet très plaisir, si le Relais de la Magdeleine existe encore (au moins le bâtiment) d’avoir une photo.
      Antoine Hyafil

  4. François BARRY DELONGCHAMPS

    Bonjour cher Antoine,
    Un peu par hasard, je tombe sur ce site. Nous avons joué ensemble quand nous étions petits avec ton frère Olivier, et nous nous sommes côtoyés à Sciences Po. Nos mères étaient très proches. Ma grand mère, Tina Dreyfus, me disait que ton grand père Albert l’avait demandée en mariage. Cela ne s’est pas fait, mais ils sont restés amis et nos mères se sont retrouvées ensemble à Boutet de Montvel. Curieusement, je me souviens d’une canne, que ma mère appelait la « canne de l’oncle Henri » (Bergson), qui est toujours restée dans le porte parapluie de mes parents. Je ne saurai jamais comment elle avait atterrie là.
    Ma mère a aussi passé l’hiver 1940-41 à Marseille. Elle me parlait d’Hélène Berr, avec beaucoup de pudeur, comme elle le faisait pour toutes les affaires graves.
    La seule fois de ma vie où j’ai vu ma mère décomposée, ce fut à la mort d »Odile. J’avais 16 ans, et je fus très impressionné. Je m’en souviens comme au premier jour.
    J’ai remarqué le portrait d’Odile par Gérald Van Der Kemp, qui était le parrain de mon frère Jean. Il avait été l’élève de ma grand mère à l’Ecole du Louvre, et a fait un portrait de ma mère Jeanine dans le même style. Les cadres sont quasi identiques. Gérald était resté très proche de ma famille.
    Fidèle souvenir du temps retrouvé.

  5. Bonjour,

    J’écris actuellement une biographie d’Henri Bergson et je suis tombée avec bonheur sur la photo de famille avec Gustave NEUBURGER, Jeanne BERGSON, Louise NEUBURGER et Henri BERGSON. J’aurais aimé savoir si cette photo était disponible dans une archive officielle ou personnelle éventuellement pour l’utiliser dans mon livre. Je serais très reconnaissante si vous pouviez me contacter pour me donner plus d’informations.
    Bien cordialement à vous

    Emily

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